Nos services
Un service de qualité pour répondre aux enjeux environnementaux
La production et la consommation alimentaire génèrent des matières organiques qui représentent un défi de traitement pour la société. En effet, les sous-produits de l’agriculture, les co-produits des entreprises alimentaires, les résidus de préparation de repas, les restes ou invendus de l’alimentation sont autant de matières organiques à traiter dans le respect de la qualité des sols, des eaux et de l’air.
Il s’agit d’une ressource renouvelable exploitable, que Déméter Energies sait valoriser. Le processus naturel de méthanisation permet de transformer ces matières en éléctricité et en engrais et ainsi de répondre à une multitude d’enjeux qui nous concernent tous.
Répondre aux enjeux environnementaux et économiques
Notre méthaniseur recycle les résidus et sous-produits organiques
Cultures alimentaires – les sous-produits ont aussi un coût
• Les cultures intermédiaires (entre 2 cultures alimentaires) permettent de maintenir un couvert végétal pendant l’hiver pour réduire l’érosion et le ruissellement des nitrates. Elles sont ensuite détruites pour semer la culture suivante. Elles sont un coût pour l’agriculteur mais aussi un stock de matières et d’énergie peu valorisé.
• Les effluent d’élevages (fumiers, lisiers) occasionnent des coûts de traitement importants pour les agriculteurs (normes et stockage).
Alimentation de la population : des résidus organiques à valoriser
• Les collectivités, les citoyens, les entreprises alimentaires, les supermarchés sont sources importantes de matières organiques qui viennent de la production et de la vente des denrées et de la préparation des repas. Elles ne sont pas ou peu valorisées localement et représentent un coût croissant pour les contribuables.
• La loi AGEC (relative à la lutte contre le gaspillage pour une économie circulaire) impose depuis le 1er janvier 2024 la valorisation des matières organiques.
Valoriser les matières organiques locales
Les matières que nous valorisons représentent un total de 25 000 tonnes par an. Elles proviennent principalement du lisier et fumier d’élevage, des cultures intermédiaires, et des sous-produits de la production alimentaire.
Effluents d’élevage
Cultures intermédiaires
Issus de ceréales
Sous-produits alimentaires
Nous nous sommes engagés à ce que plus de 80% des matières proviennent d’un rayon inférieur à 15 km pour réduire les émissions de CO2 liées au transport des matières.